- VIOL - MEURTRE - JEUNE FILLE
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- DENI de JUSTICE - EXTRADITION
- DROITS de l'HOMME - REEXAMEN
- DENONCIATION aux FINS de POURSUITES
- MANDAT d'ARRET EUROPEEN


                                                                                                        Toulouse, le 04 mai 2011
 

    N O U V E A U
 

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      J'attire votre attention sur l'affaire abominable de plus en plus scandaleuse (sur les plans judiciaire et politique) concernant le viol et l'assassinat de ma fille Kalinka, âgée de moins de 15 ans, par le Dr Krombach, son beau-père, dans la nuit du 09 au 10 juillet 1982 à Lindau (Allemagne).

A) J'avais d'abord essayé d'obtenir justice en Allemagne : après l'autopsie, les autorités judiciaires, médicales, policières et politiques ont d'abord refusé de pousser les enquêtes puis ont volontairement fermé les yeux sur les conclusions - pourtant édifiantes - de quelques mesures (expertises chimico-toxicologiques, anatomo-histologiques et pharmacologiques, exhumation, quelques témoignages factices, ...) ordonnées sous la contrainte mais aussitôt arrêtées ; le Dr Krombach, couvert par la police criminelle, par les médecins-légistes et par les procureurs, y est "très protégé". (tous les détails sont exposés dans la rubrique 18 consultable à partir de la Table des Matières du présent Site).

B) J'ai donc ensuite - dès début 1984 - porté plainte avec constitution de partie civile à Paris puisque Kalinka était de nationalité française : trois juges successifs (Madame Martine ANZANI puis Monsieur Jean-Claude VUILLEMIN et enfin Madame Sabine FOULON) ont mené l'instruction de 1984 à 1992 pour (après beaucoup de péripéties dont de nouvelles expertises médicales et l'immobilisme fallacieux des autorités allemandes dans le cadre d'un manque total de coopération) enfin obtenir, par l'Arrêt de la Chambre d'Accusation du 08 avril 1993, le renvoi du Dr Krombach pour meurtre devant la Cour d'Assises qui, le 09 mars 1995 seulement, ne l'a condamné par contumace qu'à 15 ans de réclusion criminelle (au lieu de la perpétuité !).
( Rubrique 2a et Rubrique 2b).

C) Les anomalies ahurissantes auparavant constatées dans cette affaire même en France (collusion politique à de très hauts niveaux) ont alors continué au grand jour : malgré mes incessantes réclamations, la simple diffusion Schengen n'a été faite qu'en août 1996 (uniquement dans 3 pays non concernés) et le mandat d'arrêt Interpol lancé seulement dans 7 pays (hors d'Europe) qu'en février 1997 !
      De plus, lorsque le 07 janvier 2000 j'ai enfin réussi à faire arrêter le Dr Krombach en Autriche, ce pays l'a abusivement libéré dès le 02 février 2000 en infraction de toutes les prescriptions de la Convention Européenne d'Extradition sans même examiner la demande présentée par la France qui n'avait absolument pas protesté contre ce déni de justice malgré toutes mes démarches et les promesses non tenues qui m'ont été faites à cet effet ! (Rubriques 4 a) et b) + 5 a) et b) + 6 b).

D) En outre la connivence entre les autorités françaises et allemandes dans cette affaire pour protéger le meurtrier est prouvée par certains paragraphes de la Décision du 29 février 2000 de la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Par cette Décision, cette Cour déclare irrecevables trois griefs présentés par le Dr Krombach par sa requête de fin 1995, dont celui de l'autorité de la chose jugée (non bis in idem). Mais, par son Arrêt du 13 février 2001, cette Cour de Strasbourg considère que la législation française de l'époque n'a pas accordé un procès "équitable" à ce tueur en le condamnant en son absence volontaire et injustifiée en refusant que ses avocats assurent sa défense ! (Rubrique 8)
      Ainsi l'Europe protège toujours les assassins (entre-temps le Dr Krombach avait avoué au moins un viol commis dans son cabinet médical sur une autre jeune fille de 16 ans qu'il avait anesthésiée pour lequel il a été trop faiblement condamné par le Tribunal de Kempten en octobre 1997) sans jamais penser aux victimes ! En effet, toutes les autorités compétentes (Ministre de la Justice, Procureur Général près la Cour de Cassation, Comité des Ministres du Conseil de l'Europe) ont - début 2002 - volontairement fallacieusement refusé de faire procéder au réexamen indispensable du procès (pour qu'il se déroule dans les conditions fixées par la Cour Européenne) pour bloquer cette affaire qui s'est trouvée jusqu'en octobre 2009 dans une impasse judiciaire définitive ubuesque totale en faveur du violeur criminel. (Rubrique 14)

E) La protection politique du Dr Krombach par la France, l'Allemagne et l'Europe s'est encore concrétisée par une autre manigance : en mai 2003 la France a transmis à l'Allemagne l'entier dossier judiciaire français de cette affaire en procédant ainsi à la "dénonciation officielle des faits aux fins de poursuites" en sous-entendant que le Ministère français de la Justice demande "aux autorités allemandes d'en prendre connaissance et d'en tirer toutes les conséquences juridiques".

      En réalité la France se dépouillait ainsi entièrement de sa compétence dans cette affaire : l'Allemagne aurait pu en profiter pour acquitter définitivement fallacieusement le Dr Krombach qui n'aurait plus eu à "purger sa contumace" en France en arguant, cette fois valablement, de la règle "non bis in idem", d'autant plus que la France savait bien qu'en 1994 les autorités judiciaires allemandes avaient déjà considéré qu'il n'y a "rien de nouveau" dans les pièces françaises par rapport aux enquêtes faites en Allemagne ayant toutes abouti à des classements sans suite.
Mais, par sa Décision du 01 juin 2004, le Parquet de Kempten classe une nouvelle fois cette affaire sans suite en s'abstenant sciemment de tenir compte de nos preuves et arguments. (Rubrique 15)

      Voilà comment ce crime est resté parfaitement impuni !

F) Dans ces contextes de blocages définitifs de cette affaire, j'ai été contraint (pour connaître les fondements de tous les innombrables ahurissants dysfonctionnements constatés) de déposer en août 2002 une plainte pénale avec constitution de partie civile contre les autorités judiciaires et politiques françaises responsables surtout des refus d'exécuter la condamnation mais aussi des autres énormes anomalies et dysfonctionnements constituant les infractions criminelles et correctionnelles de corruptions et d'entraves à la justice.
     Cette plainte a connu beaucoup de vicissitudes : dépaysement, Juge d'Instruction qui refuse d'investiguer, appel devant la Chambre de l'Instruction qui traîne mais finalement ordonne d'instruire, Juge(s) d'Instruction muté(s), 2 nouveaux Juges successifs qui prennent connaissance du dossier,... La quatrième Juge n'a procédé qu'à 4 auditions de témoins : après 7 ans d'instruction elle a rendu le 17 juillet 2009 son Ordonnance de Non-Lieu alors que les seuls quelques actes accomplis sont trop superficiels ! Je dois constater  que tous les magistrats et la Chancellerie protègent leurs collègues ainsi que les hommes politiques par corporatisme et franc-maçonnerie. Mais je continue cet ultime combat : j'ai fait appel devant la Chambre de l'Instruction. (Rubrique 16)

G) Entre autres recours, j'avais demandé le 11 août 2004 au Procureur Général de Paris de lancer d'urgence le mandat d'arrêt européen ; cette nouvelle procédure rend l'extradition plus efficace et plus simple : l'Allemagne était théoriquement contrainte de livrer le Dr Krombach à la France pour qu'il purge sa contumace même si ce criminel est ressortissant allemand.
      Mais, une fois de plus, les autorités judiciaires et politiques françaises ont couvert l'assassin : malgré mes 3 réclamations écrites très circonstanciées faites entre-temps, le Ministère de la Justice a interdit pendant plus de 4 mois au Parquet Général de procéder au lancement de ce mandat alors que le Procureur Général avait l'obligation légale de l'émettre immédiatement et a donc commis une nouvelle infraction criminelle en traînant autant pour le faire ! Finalement ce n'est que le 16 décembre 2004 que ce mandat est parti de Paris à Munich.
      L'Allemagne a alors longtemps étudié sa position attendant que la France accompagne son formulaire de mesures concrètes : mais les autorités françaises ont préféré s'abstenir pour poursuivre leur collusion. Enfin, par sa Décision du 07 avril 2005, le Parquet Général de Munich a, par opportunité, refusé l'extradition sous le prétexte que les enquêtes menées en Allemagne ont été classées sans suite, alors que rien n'interdisait à ce pays de livrer le meurtrier, confirmant ainsi le perpétuel comportement nazi de ses autorités. (Rubrique 17)

H) Grâce à ma plainte j'ai quand même pu obtenir les nombreuses importantes preuves écrites :
- des interventions, injonctions et pressions écrites ou personnelles directes de l'Ambassade d'Allemagne et des autorités allemandes (en liaison avec les 2 avocats de l'assassin) auprès des autorités judiciaires et politiques responsables françaises
- ainsi que de la collusion en découlant des institutions françaises par leur refus d'exécuter les 2 Décisions Judiciaires en s'abstenant -jusque début 2005, de lancer les mandats d'arrêt dans tous les pays du monde, pour protéger le meurtrier.
(Rubrique 16 : partie S)

I) Cependant à partir de juin 2006, grâce aux soupçons d'une femme soignée par le Dr Krombach, qui avait pris contact avec moi pour connaître les vérités, des enquêtes nationales lancées dans toute l'Allemagne ont abouti à son incarcération préventive le 20 novembre 2006 pour 28 cas d'escroqueries dont 19 cas d'exercie illégal de la médecine ; des faits relatifs au comportement sexuel déviant de ce médecin avaient aussi été relevés. Finalement le Dr Krombach a été condamné le 17 juillet 2007 à 28 mois de prison par le Tribunal de Coburg, mais il a été libéré par anticipation (pour bonne conduite ?!) le 10 juin 2008. (Rubrique 19)

                                                                                  *

      Face à toutes ces bavures et entraves, j'étais depuis un bon moment convaincu que seules la diffusion massive par les médias des énormes anomalies scandaleuses constatées dans cette affaire et des interventions publiques de particuliers par leurs soutiens permettraient d'obliger les autorités responsables à remplir leurs devoirs pour aboutir réellement à l'exercice et à l'exécution de la justice ; c'est pourquoi j'avais établi ces dossiers exposant les détails de ce scandale que je demandais à tous les lecteurs de faire consulter par toutes leurs connaissances sur mon présent site Web Internet -ouvert en 2000- dont  l'adresse URL est :

http://pagesperso-orange.fr/a.bamberski/

                                                                               *

      Avec Mr Robert PINCE, le Président de l'Association Justice pour Kalinka (http://www.justice-kalinka.com  )  -constituée par solidarité en 2001, nous avons effectué une démarche supplémentaire au Ministère de la Justice le 30 juin 2008 après-midi : reçus par le magistrat Porte-Parole de la Ministre, 2 magistrats Conseillers au Cabinet de la Garde des Sceaux ainsi qu'un magistrat Chef de Bureau à la Direction des Affaires Criminelles, des promesses nous avaient été faites que des mesures seraient prises pour débloquer la situation. Mais, malgré d'autres réclamations écrites, aucun résultat concret n'avait été obtenu en été 2009 !
         Pour moi l'impasse était alors définitivement totale. Le meurtrier vivait toujours tranquillement libre impuni à Scheidegg en Allemagne du Sud. C'était la Justice des voyous et des pleutres ! L'Europe judiciaire n'était qu'une farce sinistre.
         J'ai alors décidé de reprendre ma surveillance personnelle du Dr Krombach sur place : mi-septembre 2009 je suis allé à Scheidegg pour apprendre que le Dr Krombach allait déménager. Paniqué par la perspective de le perdre définitivement, j'ai perdu patience car je devais aussi tenir compte surtout de l'approche de la fin de la prescription mais également de nos âges avancés (le Dr Krombach est né en 1935 et moi en 1937).
         Dans toutes ces circonstances, je suis retourné sur les lieux où Mr Krombach demeurait : le vendredi 09 octobre 2009 après-midi un homme m'y a proposé de transporter le Dr Krombach d'Allemagne en France ; c'est ainsi que j'ai eu la surprise et surtout la chance miraculeuse d'apprendre que dans la nuit du samedi 17 au dimanche 18 octobre 2009, un peu avant 4 h du matin, Mr Krombach a été trouvé et arrêté à Mulhouse par la police française avec toutes les conséquences judiciaires (que je recherchais depuis plus de 27 ans) qui en découlent.

                                                            *

          Je reste à votre disposition sur mon  e-mail : a.bamberski@wanadoo.fr  pour vous fournir tous les autres renseignements et documents dont vous pourriez avoir besoin : je détiens toutes les preuves de toutes les pièces citées dans ce dossier, soit en français, soit en allemand, dont je peux vous communiquer les détails.

        Dans cette attente, je vous remercie très vivement pour l'aide que, j'en suis certain, vous m'apporterez.



Heureux ceux qui ont faim et soif de la Justice : ils seront rassasiés !
(Evangile selon Saint Matthieu - 5, 1-12)


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Auteur :                                                      e-mail : a.bamberski@wanadoo.fr

      BAMBERSKI André                                      59, Route des Coteaux
            Expert Comptable Diplômé par l'Etat
          Commissaire aux Comptes de Sociétés                                     31320 PECHBUSQUE - FRANCE
                            Licencié en Droit
      Diplômé de l'Ecole Supérieure de Commerce
                                                                                        tél : (33) 05 61 73 03 02
 

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